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A Paris, lundi 26 juillet 2010 |
| N° 262/10 U.N. |
- Mesdames, Messieurs les Administrateurs nationaux et Présidents départementaux,
A la suite des incidents survenus à SAINT-AIGNAN avec des gens du voyage et à THELUS avec la percussion volontaire d'un adjudant de gendarmerie par le conducteur d'une voiture en grand excès de vitesse et en accord avec l'ESSOR une dépêche a été transmise à l'AFP, dont voici le contenu diffusé le 20 juillet :
"Le mensuel l'ESSOR de la Gendarmerie (35000 lecteurs) et l'Union Nationale du Personnel en Retraite de la Gendarmerie (UNPRG), 45000 adhérents, ont dénoncé mardi, dans un communiqué commun, un "climat de violence" envers les forces de l'ordre.
Ces deux organes expriment leur "indignation" après la "percussion volontaire" lundi par un chauffard d'un gendarme dans le Pas-de-Calais, qui était mardi toujours entre la vie et la mort.
"Cette affaire surajoutée au saccage d'une gendarmerie à Saint-Aignan (Loir-et-Cher) par des gens du voyage, permet de comprendre que les militaires de la Gendarmerie (...) cherchent à se protéger eux-mêmes contre les exactions meurtrières d'individus qui se croient au-dessus des lois" écrivent ils.
"Ce climat de violence également mis en relief à Grenoble (où les forces de l'ordre ont essuyé des tirs à balles réelles lors des violences consécutives à la mort d'un braqueur, ndlr) doit être stoppé par une application stricte des lois en vigueur estimées suffisantes pour rétablir l'ordre républicain"
Henri MARTINEZ
Président national
- original signé -