Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 16:30

Montré en exemple par les médias , dont M6 , le très mauvais maire adjoint de Toulouse à la sécurité, Jean-Pierre HAVRIN démontre une nouvelle fois où mène sa "politique" ; les Toulousains peuvent compter sur la Police Municipale pour avoir des contraventions de stationnement...Ou bien se faire casser leurs voitures ! ENORME ! GRANDIOSE ! HAVRINESQUE ...                                                                                                                                                 

Pas contents du tout les locataires de la résidence Novilis. Car l'absence de sécurité qui règne sur le parking qu'ils payent en même temps que leur loyer pour garer leurs véhicules dans la cour du n° 14 de la rue Virginia Woolf les contraint à un choix cornélien : persister à stationner derrière l'immeuble au risque de se faire casser la voiture. Ou enfreindre le code de la route en se garant sur le trottoir, face aux fenêtres des appartements mais sous la menace des 30 € d'un PV pour stationnement gênant. Après un tableau de bord arraché, et plusieurs portières forcées la majorité a opté pour le trottoir. Résultat, «les policiers municipaux qui viennent réguler le stationnement devant l'école font toute la rue, nous inondent de PV et nous narguent au passage», récrimine un des habitants de la résidence. «Je gare ma voiture devant chez moi et je prends un PV tous les quinze jours» renchérit sa voisine, «et quand je vois faire les agents, j'ai la ferme impression qu'ils se moquent de nous.» Dans cette résidence modeste, la ponction des PV pour sauvegarder les voitures est vécue comme une injustice. Au Capitole, Jean-Pierre Havrin s'efforce de chiffrer la situation : «39 PV ont été dressés dans cette rue depuis le 1er janvier 2012, dont 33 pour stationnement sur la piste cyclable et 6 sur le trottoir». Pour l'adjoint en charge de la police municipale «les habitants de la résidence se trompent de cible. Car si le parking n'est pas sûr alors qu'ils le payent, ils doivent s'adresser au syndic ou à leur bailleur.» Malheureusement le bailleur n'est pas très accessible. Contacté à plusieurs reprises par téléphone hier, le responsable de la résidence était en rendez-vous ou en réunion. Mais pas en mesure de s'exprimer sur l'insécurité qui règne sur le parking ouvert aux quatre vents.  http://www.ladepeche.fr/article/2013/02/23/1567547-toulouse-ils-payent-en-pv-la-securite-des-voitures.htmlhavrin

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 15:56

14 juin 2012

Dans le prolongement des poursuites pour viols dont Georges Tron est l’objet, Jean-François Copé avait osé parler de « mesquineries » (lettre publiée sur le site boocan. lire  ICI )
Au premier tour de l’élection législative, dimanche dernier, la déroute d’un Georges Tron qui dévisse de 22 % par rapport à 2007, a témoigné de l’efficacité de cette caution du secrétaire général de l’UMP.

Comme si ce soutien, certes vain mais politiquement imprudent, ne suffisait pas, le maire de Meaux a cru opportun de récidiver entre les deux tours en venant éclairer de sa glorieuse présence la soirée organisée par Georges Tron au Théâtre de Draveil pour célébrer avec ses derniers adeptes la perte imminente de son mandat de député.

Georges Tron, mis en examen pour « viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité » , qui continue à ne douter de rien, n’a pas évidemment caché sa satisfaction d’être soutenu par les représentants des Meldois.

 

http://www.draveil-villages.fr/?p=2596

 

Tron condamné pour diffamation

L'ancien ministre de la Fonction publique Georges Tron a été condamné vendredi pour diffamation. Le candidat malheureux aux législatives avait, pendant la campagne, ciblé dans un tract plusieurs autres candidats, évoquant "un complot politique".

Dure année pour Georges Tron. Toujours poursuivi pour viol et harcèlement moral, dans deux enquêtes parallèle, l'ancien ministre UMP de la Fonction publique a été condamné vendredi pour diffamation par le juge des référés d'Evry.

L'affaire remonte aux dernières élections législatives, que le maire de Draveil (Essonne) a perdues. Dans un tract de quatre pages daté du 7 mai 2012, Georges Tron avait mis en cause Jacques et Philippe Olivier, deux frères candidats contre lui, ainsi que deux autres adversaires (MoDem et DVD). Il dénonçait un "complot politique" le visant et ayant, selon lui, conduit à sa mise en examen après les accusations de viols portées par deux anciennes employées municipales. http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Tron-condamne-pour-diffamation-526363

 

 6 juillet 2012

 

Tron

 

SI TRON était un policier il y a longtemps qu'il aurait été suspendu ! Mais c'est Môssieur TRON !

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 18:35

Un policier a été blessé dans la nuit de jeudi à vendredi à Wissous, dans l'Essonne, après avoir été heurté par un véhicule dont le conducteur, qui avait commis des infractions, a refusé de s'arrêter lorsque la police tentait de l'interpeller, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.

Vers 03H40, le policier venait d'installer un barrage sur un rond-point, à Wissous, pour tenter d'interpeller le fuyard. Celui-ci n'a pas freiné, et, en évitant l'obstacle, a heurté le policier, qui a fait un vol plané "assez important", selon le parquet d'Evry. Le policier a été hospitalisé, il souffre de fractures faciales et d'ecchymoses, mais ses jours ne sont pas en danger, toujours selon le parquet. Le conducteur du véhicule a réussi à échapper aux forces de l'ordre. La voiture a été retrouvée abandonnée 200 mètres après le lieu des faits, a précisé le parquet.

Un homme se trouvait vendredi matin en garde à vue, a ajouté le parquet, sans donner plus de détails, et en précisant que l'enquête débute. 24 août 2012 .

 

Trois policiers ont été blessés par des tirs dans la nuit de vendredi à samedi à Grigny dans l’Essonne. Deux d’entre eux ont été touchés par des plombs de fusil de chasse et le troisième par un tir de mortier de feu d’artifice selon une source policière. Cet incident a eu lieu au cours d’échauffourées dans le quartier de la Grande Borne.

Les forces de l’ordre étaient intervenues aux alentours de 22h30 vendredi pour une rixe opposant une vingtaine de personnes. Alors que le calme était revenu dans le quartier et que les policiers regagnaient leur véhicule, ces derniers ont été pris pour cible par une quinzaine d’individus. Venus en renfort, une quinzaine de CRS ont été touchés sans être blessés et ont fait usage de gaz lacrymogène. Par ailleurs, une cartouche de calibre 12 a été retrouvée par les enquêteurs sur le lieu de l’affrontement, qui s’est poursuivi jusqu’à 1h du matin.

Une enquête a été confiée à la sûreté départementale de l'Essonne mais aucune interpellation n’a encore été annoncée.

Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a vivement réagi à cet incident depuis les universités d’été PS de La Rochelle : « Nous avons besoin, au moment où les forces de l'ordre, policiers et gendarmes, sont aussi victimes de mortiers, de tirs, comme cela a été encore le cas dans l'Essonne ces dernières heures, comme cela a été le cas à Amiens il y a quelques jours, où il y a des blessés, de leur témoigner notre confiance. La défiance vis-à-vis des forces de l'ordre serait une mauvaise chose, et moi je suis le premier flic de France, je suis leur responsable, je suis avec eux. Nous avons besoin des policiers et des gendarmes pour rétablir l'ordre républicain. » 25 août 2012

 

karcher

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
26 juillet 2012 4 26 /07 /juillet /2012 16:10

lettre napoleon var

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
7 juillet 2012 6 07 /07 /juillet /2012 17:22
Tron condamné pour diffamation

L'ancien ministre de la Fonction publique Georges Tron a été condamné vendredi pour diffamation. Le candidat malheureux aux législatives avait, pendant la campagne, ciblé dans un tract plusieurs autres candidats, évoquant "un complot politique".

Dure année pour Georges Tron. Toujours poursuivi pour viol et harcèlement moral, dans deux enquêtes parallèle, l'ancien ministre UMP de la Fonction publique a été condamné vendredi pour diffamation par le juge des référés d'Evry.

L'affaire remonte aux dernières élections législatives, que le maire de Draveil (Essonne) a perdues. Dans un tract de quatre pages daté du 7 mai 2012, Georges Tron avait mis en cause Jacques et Philippe Olivier, deux frères candidats contre lui, ainsi que deux autres adversaires (MoDem et DVD). Il dénonçait un "complot politique" le visant et ayant, selon lui, conduit à sa mise en examen après les accusations de viols portées par deux anciennes employées municipales.

Dans la famille Le Pen…

Ce tract n'avait pas permis au candidat UMP de résister à la vague rose, qui a porté le socialiste Thierry Mandon en tête des suffrages. Avec 56,75%, l'élu PS a largement devancé l'ancien ministre (43,25%). A noter que Philippe Olivier n'a recueilli que 0,02% des bulletins. Ce candidat, se présentant sous les couleurs du Front national, est en fait l'époux de Marie-Caroline Le Pen et donc beau-frère de Marine Le Pen. Son propre frère, Jacques Olivier, était son suppléant.

Sa défaite n'a pas empêché Georges Tron de maintenir son tract sur son site Internet. Vendredi, le juge a donc condamné Georges Tron "à faire cesser le trouble manifestement illicite causé à Monsieur Jacques Olivier et à Monsieur Philippe Olivier par la diffusion du tract intitulé 'Message personnel de la part de Georges Tron' daté à Draveil du 7 mai 2012". Le maire de Draveil doit faire paraître un encart dans l'édition départementale du Parisien et retirer l'article posté sur son site internet créé pour les élections législatives. Une décision appliquée quelques minutes après la publication du jugement.

G.V. (avec AFP) - leJDD.fr 

vendredi 06 juillet 2012 http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Tron-condamne-pour-diffamation-526363

 

Pied Pride

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 15:20
Navrant : la gendarmerie chasse la douane en contrôle à un péage

Amusant ou navrant ? On oscille entre ces deux qualificatifs, à la lecture d’un article de sudouest.fr daté du 21 juin. Il narre une énième version de la guerre des uniformes, qui vire parfois à la guerre des boutons.

L’histoire remonte au 16 mai. Une brigade des douanes dresse une souricière au péage de Lançon-de-Provence (13), barrière incontournable à la confluence autoroutière du sud de l’Europe, donc de nombreux trafics. Comme à l’accoutumée, les douaniers opèrent un ralentissement du trafic, dans le but de traquer les comportements anormaux chez les conducteurs.

Chassés par la gendarmerie. Mais à la différence des autres opérations de routine, un peloton de gendarmerie vient les chasser, leur intimer l’ordre de mettre fin au ralentissement ! D’après sudouest.fr, les gendarmes répondaient à l’appel de l’exploitant de l’autoroute, qui voyait d’un mauvais oeil le bouchon créé par les douaniers, mettant à mal le dispositif de télépéage dont l’objectif est faire passer la barrière aux usagers le plus vite possible.

Privatisation et contrôles. Autrement écrit, les contrôles routiers des douaniers nuiraient à la rentabilité des barrières de péages, qui contribuent à grossir l’immense pécule des actionnaires des sociétés d’exploitation. Le pire, c’est que ce sont les gendarmes de la République qui le font comprendre aux douaniers !

Nicolas Grumel (25/06/2012)

 

http://www.motomag.com/Navrant-la-gendarmerie-chasse-la-douane-en-controle-a-un-peage.html

 

drapeau-france-republique-bananiere

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 14:53

La chasse n’a pas vraiment été bonne pour cet homme de 23 ans, sans domicile fixe, interpellé mercredi à Montgeron. Vers 22 heures, la police municipale arrête un véhicule dont le conducteur conduit dangereuseument. Dans la boîte à gants, les aperçoivent un long objet métallique mystérieux.

Il s’agit d’un artisanal que l’individu arrêté affirme avoir élaboré lui-même pour la chasse. Dans la voiture, les policiers trouvent deux colverts morts. Placé en garde à vue pour possession d’arme de 4e catégorie et défaut de permis de chasse, l’homme sera convoqué ultérieurement par la .

 

Le Parisien source : http://www.leparisien.fr/essonne-91/le-chasseur-avait-fabrique-son-fusil-20-04-2012-1963890.php

 

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

Le SIPM-EUROCOP est en mesure d'apporter les précisions suivantes :

 

L'arme artisanale était une arme dissimulée en canne de marche. L'individu transportait avec lui 5 munitions artisanales dont deux percutées. Ces munitions étaient en état de fonctionner.

 

Le projectile était de la "chevrotine liée" , interdite en France .

La chevrotine liée est une munition dont les grains de plombs sont liés les uns aux autres par du fil, le plus souvent en laiton. Ce principe permet de garder les grains groupés pendant le tir, ainsi la charge de plombs ne se disperse pas avec la distance. Les grains s'écartent les uns des autres à une distance déterminée par la longueur du fil qui les maintient ensemble, ce qui donne une forme de toile d'araignée à la charge pendant le tir. Ce principe permet d'augmenter la probabilité de toucher la cible par rapport à un projectile unique car la surface couverte est bien plus importante, mais aussi d'augmenter la létalité des projectiles par rapport à des grains non liés car ceux-ci ont plus de chances de toucher la cible dans leur totalité. Cette munition combine donc les avantages des cartouches à projectiles multiples et unique.
Toutefois, ce type de munition est dangereux y compris pour le tireur. Lorsque la chevrotine liée rencontre un obstacle, un poteau ou une branche d'arbre, elle peut avoir l'effet d'une fronde et partir dans n'importe quelle direction et revenir sur le tireur.

Difficile une fois de plus d'affirmer que les Policiers Municipaux n'ont pas à être équipés de moyens de défense adaptés : voilà ce sur quoi débouche une simple mission de police sur la voie publique. Point de départ : une infraction au code de la route...



SIPM-FPIP/EUROCOP le 21/04/2012

 

 

gun-copie-1

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 19:33

armes

 

Coups de Flash-Ball à Gray (70) : le barman relaxé

 

Gray. La sortie du procureur Parietti a eu le mérite de dire les choses quant à la réalité de la délinquance qui sévit sur la localité grayloise. « Cette ville est une petite poudrière, la situation est explosive, la population n’en peut plus ». Un peu plus loin dans ses réquisitions, le patron du parquet de Vesoul a clairement pris le parti du patron de bar, un homme de 39 ans poursuivi pour violence avec usage d’une arme. Reconnaissant « qu’on n’est pas loin de la situation de légitime défense. […] La population ne peut pas toujours subir, il faut que les gens réagissent ».

« On n’a plus le droit aux bombes lacrymo à cause des asthmatiques »

Du petit-lait pour M e Grandhay, l’avocate du gérant du bar du centre, qui n’a plus eu qu’à démontrer la légitime défense par la proportionnalité de l’usage d’un Flash-Ball par son client. « Le Flash-Ball est une arme de septième catégorie, une arme de loisir tandis que les couteaux utilisés par les assaillants sont de sixième catégorie, une arme létale ». Le 25 décembre dernier, vers 19 h 30, « on était fermé », rappelle le patron de bar. Avec son épouse et ses enfants, il s’apprête à passer à table en ce jour de Noël. Tout le monde est dans l’appartement situé à l’étage, au-dessus du débit de boisson. Il y a eu d’abord les insultes pendant une demi-heure de la part d’individus de la famille Reynoud. « Ça tapait dans les vitres ». Premier appel aux gendarmes qui connaissent bien cette famille et pensent d’expérience que les choses vont en rester là.

Mais le tapage reprend de plus belle. « Quand ça a été dans les rideaux je suis descendu pour qu’ils s’en aillent ». Le patron est pudique. Il est en fait descendu parce que ses enfants commencent à prendre peur. Les Reynoud menacent en effet de mort le père tandis qu’ils promettent « le viol de la mère de ses enfants », ajoute M e Grandhay. Le papa descend donc avec son Flash-Ball, « parce qu’on n’a plus le droit aux bombes lacrymogènes, à cause des asthmatiques », nous confiera-t-il pendant les délibérés.

Il ouvre donc la porte pour demander à nouveau aux Reynoud de s’en aller. Ceux-ci la forcent, « par jeu » déclareront-ils à l’occasion de leur audition. C’est aussi pour jouer sûrement qu’ils ont gratifié le barman de coups de couteau à l’avant-bras et molesté son épouse devant ses yeux. « Ils étaient cinq en train de la savater ». Il la sort de leurs griffes et va prendre enfin son Flash-Ball. « J’ai tiré une fois mais ils ont continué d’avancer », aidés sûrement par les 2,98 g d’alcool dans le sang mesurés sur Philippe Reynoud. « J’ai alors tiré une deuxième fois tandis qu’ils me visaient le ventre ». C’est finalement à coup de crosse qu’il parviendra à les sortir de l’établissement. Huit mois ferme pour Jean-Luc, 6 mois ferme pour Philippe et 4 mois ferme pour Robert Reynoud. Relaxe pour le barman, la légitime défense a été retenue, et même encouragée par le procureur. Hier, ce dernier est revenu sur le braquage de la station Avia de Vesoul : « J’ai félicité l’employé ». Ce dernier avait mis en fuite deux braqueurs armés le 9 mars.

Walérian KOSCINSKI http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/03/23/coups-de-flash-ball-barman-relaxe

 

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Le FLASH-BALL est sans doute la meilleure arme de défense actuellement proposée sur le marché.

  Preuve en est l’intérêt croissant porté à ce système révolutionnaire par les professionnels de la sécurité du monde entier. Le principe est simple : contrer un agresseur par K.O. technique, sans mettre systématiquement sa vie en danger. Pour cela, le FLASH BALL utilise une balle de caoutchouc souple déformable à l’impact.

Avec le FLASH-BALL pas besoin d’être grand et fort pour réussir son tir.
 

Grâce à un faible recul, petits gabarits, hommes et femmes, droitiers et gauchers, trouveront une arme de défense extrêmement simple à mettre en œuvre.

Face aux problèmes bien malheureux mais aussi bien réels de l’insécurité, le FLASH-BALL est une solution aussi intelligente et peu coûteuse qu’efficace.

 
7ème catégorie, I, paragraphe 3
F101 sans sûreté ou F101S avec sûreté

SAC DE TRANSPORT
Type reporter
pour transporter un FLASH-BALL et
10 cartouches.

Le sac vide F304

 

EFFICACITÉ REDOUTABLE
• Puissance d’arrêt équivalente à un coup de poing
d’un boxeur professionnel à distance.

ARME DISSUASIVE
• Par son aspect (2 canons de 44 mm !)
et par le bruit de la détonation. (idem calibre 12)

MANIABILITÉ ÉTONNANTE
• Grâce à une prise en main ergonomique :
droitier ou gaucher.

CHARGEMENT ET DÉCHARGEMENT FACILITÉS

EFFICACE ET PRÉCIS JUSQU’À 12 MÈTRES
• Utilisation possible même en intérieur (rebonds sans danger grâce à la balle caoutchouc souple qui perd la majorité de son énergie à l’impact).

 

P R O M O T I O N S
FRANCE METROPOLITAINE
DISPONIBLES CHEZ VOTRE ARMURIER

1 FLASH-BALL*
Compact F101 (valeur 575 €)

 
 +
8 cartouches*
2 x F201PBE (valeur 90 €)

=
 
1 FLASH-BALL*
Compact F101 (valeur 575 €)
+ 8 cartouches*
2 x F201PBE (valeur 90 €)

+1 sac reporter (valeur 121 €)
=
665 €  468 €   786 €  573 €
* 7ème catégorie, I, paragraphe 3

 

7ème catégorie : Vente, acquisition et détention libres, mais interdites aux mineurs. Port et transport interdits, sauf motif légitime.

Arrêté du 30 avril 2001 relatif au classement du Flash-Ball : ( télécharger ici )

Selon les articles Article 47-1. (créé par Décret n°2005-1463 du 23 novembre 2005 art. 17 - JORF 30 novembre 2005) et 69 du Décret du 6 Mai 1995 ( télécharger ici ), le Flash-Ball doit être déclaré sur le formulaire Cerfa n°20-3265 ( formulaire Cerfa ). Pour les armes du paragraphe 3 du I de la 7ème catégorie (c'est-à-dire pour le Flash-Ball), la déclaration est accompagnée du certificat médical mentionné à l’article L.2336-3 du code de la défense (voir document à télécharger), placé sous pli fermé, datant de moins de quinze jours, attestant que l’état de santé physique et psychique du déclarant n’est pas incompatible avec leur détention.
 

Source : http://www.flash-ball.com/pages-fr/i_fb_compact.htm

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 15:59

Tron

Georges Tron de nouveau inquiété
lefigaro.fr Mis à jour le 21/12/2011 à 10:04 | publié le 21/12/2011 à 09:25

L'ancien secrétaire de la Fonction publique Georges Tron, déjà mis en examen pour viols sur deux anciennes collaboratrices, se retrouve une nouvelle fois inquiété, rapporte le Parisien aujourd'hui.

Le maire UMP de Draveil, dans l'Essonne, serait intervenu auprès de Pierre Lellouche, secrétaire d'État au Commerce extérieur. Il lui aurait demandé une faveur pour un chef d'entreprise, Willy Bernard, qui est aussi l'ancien dirigeant du club de football d'Angers. Willy Bernard a été condamné en première instance début 2011 pour abus de biens sociaux et a des problèmes avec le fisc. Dans sa lettre, retrouvée par les enquêteurs, Georges Tron demande aux services de Pierre Lellouche d'étudier avec mansuétude le dossier de Bernard.

Ce coup de pouce serait intervenu en échange d'un enregistrement compromettant une des accusatrices de Georges Tron. Eva Loubrieu, une des deux victimes présumées de Georges Tron et qui a porté plainte contre lui, a parlé dans un bar avec un ami à elle, Thomas N., qui a enregistré la conversation à son insu. Thomas N. et un complice, Noël D., se seraient ensuite rendu au bureau de Georges Tron avec l'enregistrement, qui démontrerait, selon eux, que Eva Loubrieu a menti sur ses accusations. En échange de l'enregistrement, Thomas N. et Noël D. demandaient au député maire de Draveil d'intervenir en faveur de Willy Bernard.

Willy Bernard a reconnu avoir employé la société de Noël D. pour le représenter. L'enregistrement, transmis anonymement au parquet d'Évry, "n'apporte aucun élément probant", selon un enquêteur. La lettre de Georges Tron envoyée le 21 septembre dernier à Pierre Lellouche a été retrouvée. La police judiciaire de Versailles est chargée de l'enquête.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/21/97001-20111221FILWWW00287-georges-tron-de-nouveau-inquiete.php

 

Corruptus In Extremis

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers
17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 18:52

 

légitime défense

http://www.lepoint.fr/societe/un-policier-condamne-a-3-ans-avec-sursis-pour-avoir-tue-un-braqueur-16-12-2011-1409505_23.php

 

Un policier de 43 ans a été condamné vendredi par la cour d'assises de Paris à trois ans de prison avec sursis pour avoir tué un malfaiteur, en février 2006 dans la capitale, lors du braquage d'un magasin de vêtements du quartier de l'Opéra.

Un policier de 43 ans a été condamné vendredi par la cour d'assises de Paris à trois ans de prison avec sursis pour avoir tué un malfaiteur, en février 2006 dans la capitale, lors du braquage d'un magasin de vêtements du quartier de l'Opéra.

L'avocat général avait requis contre Loïc Lagadec entre 3 et 5 ans de prison avec sursis, ainsi que cinq ans d'interdiction de port d'arme et cinq ans d'interdiction d'exercer toute activité dans la police.

La cour a choisi de n'assortir la condamnation d'aucune peine complémentaire.

Interrogé par l'AFP, Me Laurent Franck Liénard a précisé que son client envisageait l'éventualité de faire appel.

Les faits s'étaient déroulés le 4 février 2006 dans le magasin Gap de la rue Scribe (IXe arrondissement).

Peu avant la fermeture, trois braqueurs munis de deux pistolets et d'un couteau avaient pris en otages une dizaine d'employés et de clients.

Alors qu'un des malfaiteurs s'était enfui et que seuls deux d'entre eux étaient encore dans le magasin, deux îlotiers en patrouille dans le quartier avaient pénétré dans la boutique, alertés par un passant.

Le second malfaiteur avait pris la fuite par une fenêtre, mais le troisième, Djibril Bathily, 24 ans, s'était réfugié dans une cabine d'essayage. Une dizaine d'otages étaient alors allongés au sol, face contre terre.

Djibril Bathily était soudain sorti de la cabine, faisant alors face à l'un des îlotiers, Loïc Lagadec, qui lui avait demandé de s'arrêter. Mais le malfaiteur n'avait pas obtempéré.

Se sentant menacé, le policier avait alors fait feu une première fois, avant de tirer un deuxième coup mortel dans la poitrine du malfaiteur, qui prenait la fuite. Celui-ci se serait retourné dans sa course.

Djibril Bathily était mort sur place, près d'une heure après les faits.

A l'issue de l'instruction, Loïc Lagadec, considéré par sa hiérarchie comme un excellent élément, avait été renvoyé devant les assises pour "violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner".

Suspendu de la police depuis les faits, Loïc Lagadec est devenu interprète en langue roumaine.

 

Moralité : un bon flic est un flic mort : on le décore. S'il tue un braqueur il devient un délinquant !

 

B/N SIPM-FPIP/EUROCOP

18/12/2011

 

Partager cet article
Repost0
Published by SIPM - EUROCOP - dans Faits divers