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3 octobre 2013 4 03 /10 /octobre /2013 18:12
"Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et ne laisser aucun doute à ce sujet !"

Cette maxime est parfaitement illustrée par le dénommé Jérôme MOUHOT (UMP) qui a déclaré dans La Charente Libre :" "l'armement de la police municipale, c'est idiot. Irréfléchi. Irresponsable". L'ancien maire ajoute: "J'avais conseillé à Noël Belliot d'ouvrir au centre et d'éviter les positions trop sécuritaires. Il vient de se positionner là où je craignais qu'il se positionna: trop à droite".

L'ancien maire de Cognac considère donc que l'équipement des policiers municipaux en moyens de protection individuels est une question POLITIQUE alors que c'est une question TECHNIQUE !

Dans Sud Ouest le sieur MOUHOT , ci-devant maire récidive ":
Lorsque j’étais maire, j’ai déjà doté la police municipale de tonfas .La question ne se pose plus. Cognac n’est pas Marseille. Doter la police municipale d’armes à feu consisterait à introduire un facteur de violence là où il n’y en a pas. Je considère également que cela participerait à une certaine confusion des genres entre les missions de la police nationale, qui lutte contre toutes les formes de délinquance, et celles de la police municipale, qui prévient les incivilités."

Résumons : Cognac n'est pas Marseille (traduisez il n'y a aucune chance que les policiers tombent sur un individu armé à Cognac ??? Quelle chance ! ) , l'armement des policiers est un facteur de violence (le problème c'est la police?) et la Police  Municipale serait limitée à prévenir les incivilités (la loi lui donne pour mission la Sécurité Publique et le Code de Procédure Pénale de relever l'ensemble des infractions, crimes, délits et contraventions )  

Ce type est ...UMP ! Il est bien évident que nous préférons et de loin un élu de gauche réaliste et qui connaît ce dossier qu'un homme qui ne connaissant pas son sujet gèrerait mal la délinquance dans sa ville et mettrait en danger les policiers municipaux par son incompétence !!!!

Les prochaines municipales se joueront en grande partie sur la Sécurité Publique. Monsieur Mouhot est déjà hors jeu.

SIPM-FPIP/EUROCOP le 03/10/2013

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22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 20:36



Tron-lion.jpg
Les grands lions aussi aiment se faire masser les pieds


Georges TRON, ci-devant secrétaire d'Etat et député, toujours maire de Draveil (Essonne) est un adversaire acharné de la Police Municipale. Il multiplie les opérations de com', fait croire que son rôle se borne à implanter des caméras de vidéoprotection. Bien entendu il n'en est rien, le maire, réprésentant de l'Etat sur la commune a en charge la Sécurité Publique à son niveau.

Premier mensonge donc de Georges TRON qui veut faire croire aux draveillois que tout ceci n'est pas vraiment de son ressort, mais du commissariat de Police Nationale qui a en charge non seulement Draveil mais aussi Vigneux...Et dont les fonctionnaires d'Etat sont parfois appelés en renfort sur les villes voisines. Comme son nom l'indique la Police Nationale est nationale...Donc pas exclusivement draveilloise...

Second mensonge de Georges TRON le coût d'une Police Municipale qui serait "insupportable" pour les finances de la commune. Tron va même jusqu'à dire que cette police locale reviendrait à augmenter les impôts de 200%...On se demande bien comment font les maires de Soisy sur Seine, Corbeil, Evry, Ris-Orangis, Vigneux et Montgeron ! Sont-ils plus doués que Georges TRON ?

Mais ils est vrai que TRON (l'homme qui à une époque avait de FAUX policiers municipaux qu'il déguisait en vrais pour tromper ses électeurs ( http://www.fpip-police.com/SIPM/LEPARI~1.HTM) sait trouver de l'argent quand il veut mettre ses projets à execution.

Ainsi il vient de créer "Aqua Sénart" pour la modeste somme de 18 millions d'euros (soit des dizaines d'années de fonctionnement d'une Police Municipale au top ! ) avec salles de massage (de pieds?) et hammam alors qu'il existe déjà une piscine à Draveil...qui vient d'être rénovée.
  
Tron a été dans l'obligation d'avouer  en Conseil Municipal un déficit de 500 000 euros par an d'exploitation (ses opposants disent 600 000 ) . Même si l'exploitation de ce centre est pris en charge par trois communes les contribuables seront quand même heureux de le savoir...
http://100pour100draveil.fr/

Aujourd'hui les opposants de Georges TRON, de droite, du centre et de gauche sont conscients de l'insécurité qui grandit à Draveil.

C'est la qualité de vie dans cette commune qui est en cause, avec un maire qui préfère rénover le château de Villiers où il a installé son bureau, créer des projets coûteux, plutôt que prendre à bras le corps la SECURITE PUBLIQUE qui est sa RESPONSABILITE.
Article L.2211-1
Le maire concourt par son pouvoir de police à l'exercice des missions de sécurité publique.
Article L.2212-2
La police municipale a pour objet d'assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques.

SIPM-FPIP/EUROCOP le 22 juin 2013
 

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26 mai 2013 7 26 /05 /mai /2013 14:51

http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/02/21/2412602_quand-georges-tron-s-invitait-chez-les-le-pen-et-placait-sa-belle-soeur-a-la-mairie-de-draveil.html

 

Petit retour sur l'histoire révélée par l'Express et par Rue 89. L'histoire se déroule entre fin 2008 et juillet 2009. Mr Tron est alors maire de la ville de Draveil dans le 91. Ayant besoin d'une domiciliation fiscale sur sa commune (qu'il n'avait pas jusqu'alors), il a demandé à ses "contacts", à ses relations de l'aider. Et à qui s'est il adressé ? La famille Le Pen qui elle est installée justement sur la commune de Draveil. Etrange non ?

Mais là où cela devient incompréhensible, c'est que Philippe Olivier conseiller politique de Marine Le Pen et époux de Marie Caroline Le Pen (la soeur de Marine), affirme que Georges Tron a bien logé dans un appartement de son fils depuis fin 2008. Et de continuer : "C’était gratuit parce que l’électricité n’était pas installée, mais il avait besoin d’y entrer pour sa domiciliation fiscale" et "a commencé à payer un loyer en mai 2009" puis "donné son congé pour juillet".

"Il a demandé (ce logement) à la famille de Marie-Caroline Le Pen, en toute connaissance de cause parce qu’il sait très bien que les Olivier et les Le Pen, sur Draveil, c’est la même famille (…) Il ne nous jugeait pas infréquentables à l’époque".

De son côté Georges Tron tente de se défendre comme il peut. Expliquant tant bien que mal : "Nous avons trouvé cet appartement par le bouche-à-oreille. Quand j’ai découvert à qui il appartenait, j’ai résilié le bail le lendemain. On a dû rentrer en mai 2009 et je l’ai quitté en juin".

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Loin s'en faut. Effectivement, il fallait s'y attendre, le règlement de compte entre Tron et la famille Le Pen a commencé. Et les phrases, les attaques fusent.

Ainsi Georges Tron a déclaré : "J’ai dans ma commune la famille Le Pen, dont Marie-Caroline Le Pen (soeur de Marine Le Pen, ndlr) et la famille Olivier, et je suis en grande hostilité avec eux. Ce à quoi Marine Le Pen à répondu du tac o tac :"Tout ça le dérangeait moins quand il était hébergé par la famille Le Pen à Draveil".

 

 

 

 

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 19:20

Tron 

Un nouveau site internet tout à la gloire de Georges TRON (bien connu de nos services) vous fera mourir de rire tant les commentaires sont dithyrambiques pour le grand homme. A se demander s'il n'a pas embauché un propagandiste de la Corée du Nord ! Sur ce site c'est vraiment le pied et on y parle de...La police Municipale. En effet, opposants de droite, de gauche et du centre ont constaté qu'en matière de sécurité il restait beaucoup (TOUT?) à faire à Draveil. Et proposent tout à fait logiquement de créer une Police Municipale comme dans toutes les villes de cette importance, comme dans toutes les villes limitrophes de Draveil...Mais Tron et ses adjoints ne veulent pas. Il est vrai que le TRON avait déjà été épinglé par le SIPM pour avoir collé de FAUX policiers municipaux à Draveil !

Article du Parisien : LA POLICE MUNICIPALE CHANGE DE NOM

..... Après trois mois d'une guerre de textes entre la ville et un syndicat, la Police Municipale de Draveil a du changer de nom et de statuts. Ses agents travaillent désormais pour Draveil Sécurité. Prenant appui sur la nouvelle législation, le S.I.P.M. ( Syndicat Indépendant de la Police Municipale ) avait accusé la mairie de bafouer les lois. Le syndicat dénonçait les recrutements d' agents formés hors de tout cadre légal ( " Le Parisien " du 14 Août ).De recours au Préfet en plainte contre le Maire R.P.R. Georges TRON, le syndicat a obtenu gain de cause. Le Maire vient de modifier les statuts et de débaptiser sa police. Tout en lui concédant des " missions sensiblement identiques ". Les responsables du S.I.P.M. se disent satisfaits à un détail près: le sigle "Police Municipale" reste apposé à la porte des locaux.

..... Ce changement d' appellation est une victoire, se réjouit toutefois le délégué régional du S.I.P.M., . Cela prouve que notre action était juste, que la Police de Draveil n'en était pas une.

« Gadget coûteux »

.....Vainqueur sur la forme, le syndicat met un autre bémol à sa satisfaction, et conteste la mission du nouveau service. " On ne peut rien faire au plan légal, mais à quoi sert-il vraiment ? " Les Policiers Municipaux sont Agents de Police Judiciaire Adjoints et leur mission ne saurait être confondue avec celle de Draveil Sécurité. En fait, ce n' est qu' un gadget coûteux dont nous allons surveiller les missions réelles."

..... Ces critiques sont le cadet des soucis des six agents - bientôt neuf - et de leur patron, André Coattrenec " ce n' est pas du tout sous la pression que nous avons changé les statuts de notre service, balaie le nouveau "conseiller technique chargé de la médiation. J'ai moi-même organisé sa mise en conformité, mais les textes étaient très flous et il a fallu du temps ! " Après avoir troqué les badges pour des "pin's" au logo de la ville, le patron de Draveil Sécurité compte tout de même changer jusqu'aux tenues de ses agents, couleur de chemise comprise... elle sera blanche, au lieu de bleue. Ce sont des agents de sécurité de voie publique, il faut pouvoir les distinguer des Policiers Municipaux et Nationaux concède André Coattrenec.

.....Mais pas question de toucher à l'enseigne, "rien ne l'interdit, dans la mesure où le maire est officier de police judiciaire, donc que ces bureaux sont aussi les siens". En fait, André Coattrenec n'a qu'un regret : le nouveau nom de son service. "C'est vrai que cela sonne un peu comme une police privée, reconnaît-il, mais ce n'est pas moi qui ai choisi."

Le 06/10/1999
Élodie SOULIÉ

 

 

DRAVEIL

Le SIPM accuse le maire de bafouer la législation sur le recrutement

Un syndicat dénonce la police municipale

..... Et si la police municipale de Draveil n'était pas une « vraie » police, dûment habilitée à porter l'uniforme ? C'est l'avis des représentants du Syndicat indépendant de la police municipale (SIPM), engagés dans un bras de fer avec le député-maire RPR, Georges TRON. Ils lui reprochent de recruter des agents sans formation ni statut requis. Le fonctionnement de la police municipale Draveilloise n'est pas nouveau mais la législation, elle, a changé au printemps. Selon le SIPM, elle rend tout simplement la brigade... hors la loi ! Le syndicat compte déposer plainte contre la municipalité pour « port illégal d'uniforme » et « usage de fausse qualité ». « La nouvelle loi sur la police municipale a été adoptée le 15 avril 1999, rappelle son secrétaire général, Jean-Pierre POUYADE, et tous les maires du département ont reçu, début juin, une note relative à son application ».

« Les agents n'ont pas passé le concours »

..... Tous n'appliquent pas le texte à la lettre, à commencer, selon le syndicat, par celui de Draveil. Et de citer les « abus » : statuts impropres des agents, recrutement hors du cadre légal, encadrement assuré par des agents retraités issus d'autres corps, absence de formation, d'évolution de carrière etc. Tout cela au détriment des fonctionnaires et des habitants. « Leur police n'en est pas une, dénonce le représentant du SIPM. Ses agents n'ont pas fait l'école ni passé le concours, certains viennent des services techniques municipaux. Ils portent la tenue sans en avoir le droit ! » Que demande le syndicat ? De supprimer l'enseigne « Police municipale » apposée sur le poste ; de débarrasser voitures et uniformes de toute référence à la profession ; de priver les agents de leurs bâtons de défense et... de couper les « deux tons » des véhicules municipaux. « La sirène, autant que les bâtons, armes de 6e catégorie, sont réservés au service de police », dénonce le syndicat.

..... En mairie, ces accusations sont jugées outrancières et surtout très politiques. « Nous ferons une réponse écrite à ce syndicat, qui ne cherche qu'à faire parler de lui », commente seulement le secrétaire général de la mairie, Jean-Jacques Moulin. Draveil n'est pas la seule commune accusée de « traîner les pieds ». A un degré moindre, l'appellation de « garde urbaine » en vigueur aux Ulis laisse les membres du S.I.P.M. dubitatifs. Les cas de plusieurs autres villes d'Île-de-France sont soumis aux procureurs et aux préfets concernés, invités à « mettre fin à ces situations intolérables ». Car ce sont eux qui donnent leur agrément aux polices municipales.

Élodie Soulié

 

 

DRAVEIL

Le préfet à nouveau saisi

Vraie ou fausse police municipale ?

..... "LES fonctionnaires du Syndicat indépendant de la police municipale (SIPM) sont mal informés." C'est du moins l'avis de la mairie de Draveil, cible d'une attaque en règle dudit syndicat. Le SIPM accuse la municipalité de bafouer la nouvelle législation sur le recrutement et le fonctionnement des polices municipales ("le Parisien" du 6 juillet). Ses représentants ont d'ailleurs écrit au préfet, lui demandant de "faire appliquer la loi" et de contraindre le maire à se mettre en conformité avec elle. Ils envisagent aussi de saisir la justice pour "défendre leur profession". Du port de l'uniforme à l'usage de la sirène deux tons, rien, selon le syndicat, n'autorise ce service à revendiquer son statut de police municipale. A ces accusations qu'elle juge "outrancières", la mairie avait promis de répondre. C'est chose faite : "Nous ne vous avons pas attendus pour nous intéresser à l'évolution de ce service, répond le secrétaire général, Jean-Jacques Moulin. Ces propos excessifs ne peuvent que ternir l'image d'un syndicat qui prétend vouloir défendre la police municipale, tout en étant affilié à un syndicat de police nationale ! "

Prévention et surveillance

..... En somme, "l'usurpateur" ne serait pas celui que l'on croit. Quant au problème de fond, le secrétaire général de la mairie rappelle que "la ville a fait le choix de la sécurité par une action de prévention et de surveillance de la voie publique", assuré par des agents municipaux dont il confirme qu' " ils pourront continuer à exercer les missions que le maire leur a confiées, en toute légalité". Alors, légale ou pas légale, la police municipale Draveilloise ? Chacun campe sur ses positions. Et le préfet est à nouveau appelé à la rescousse. Moins vindicatif toutefois que le mois dernier, le SIPM lui demande au moins "le changement d'appellation de la police municipale"; la "vraie", dont les fonctionnaires ne sont pas des "agents communaux", simplement assermentés pour constater certaines infractions de circulation.

Élodie SOULIÉ

 

 

 

 

 

Notre bon Tron, qui n'a JAMAIS massé les pieds des faux policiers municipaux masculins de Draveil, même quand ils avaient beaucoup marché, s'était juste rendu coupable d'avoir favorisé l'usage de fausse qualité, port d'arme illégal de sixième catégorie, port d'uniforme illégal. Et le SIPM avait eu gain de cause.

Nous allons donc rappeller aux ignorants chargés soit disant de la sécurité à Draveil que :

L'article L. 2211-1 du CGCT précise que le maire concourt par son pouvoir de police à l'exercice des missions de sécurité publique. Cette mission de sécurité publique DOIT donc être assurée aussi par le Maire qui est un représentant de l'ETAT sur la commune.

Mais à Draveil ça ne doit pas être comme dans les autres communes Môssieur le maire a pas les moyens de créer une Police Municipale ! Est-ce à dire que les finances de la commune seraient à sec après que le maire ait été élu depuis 1995 ? Pas possible de faire comme à Vigneux ? Montgeron ? Ris-Orangis ? Ou la petite commune de Soisy sur Seine, toutes villes limitrophes de Draveil ? 


Ces soit disant élus de "droite", soit disant à la pointe de la sécurité, ne font pas grand chose en réalité et MENTENT aux draveillois ayant même créé un "bidule" baptisé Draveil Sécurité tout dévoué...

Quant à la vidéo-protection, les caméras de surveillance de la ville, on ne peut que s'étonner de ne voir AUCUN panneau signalant leur présence, en contradiction avec la loi (ENCORE ? ). En effet :

 

 

Les personnes filmées doivent être informées, au

 

moyen de panneaux affichés de façon visible :

 

 

 

de l’existence du dispositif,

 

de son responsable,

 

des modalités concrètes d’exercice de leur droit

 

d’accès aux enregistrements visuels les concernant.

 

Ces panneaux sont affichés en permanence dans les

 

lieux concernés et doivent être compréhensibles par tous

 

les publics.

 

 

Si vous savez qui est le responsable de la vidéo-protection, si même vous avez vu des panneaux apposés de manière visible par tous, vous avez de très bons yeux !!!! Ou alors vous avez des hallucinations.

Il est donc plus que temps de faire le ménage à Draveil et d'avoir un maire (de droite ou de gauche) au service de tous, un élu à la sécurité compétent, une vraie Police Municipale travaillant main dans la main avec nos collègues du Commissariat de Police Nationale.

SIPM-FPIP/EUROCOP le 25/05/2013



Article du site du cher Georges, notre grand leader bien aimé des podologues 

Un tract sur la sécurité a été distribué en début de semaine aux Bergeries. Il émane d’une association politique qui propose la création d’une police municipale.

Que connait-elle des problèmes des Bergeries, elle, dont les responsables habitent Champrosay et n’ont jamais mis les pieds dans ce quartier, sauf mardi dernier pour y distribuer leur propagande? Cela sent la campagne électorale à plein nez !  Décidément, tous ces gens courent après le maire : aussitôt annonce t-il une réunion dans un quartier, que quelque jours après, ses détracteurs diffusent un tract ! Pathétique !

Maintenant, abordons le problème de fond : le maire, Georges TRON, a obtenu, il y a 10 ans, la création d’un commissariat de plein exercice à Draveil précisément pour assurer la sécurité des Draveillois puisque c’est bien l’Etat qui est en charge de cette mission régalienne. Créer une police municipale, cela revient à nier le travail de la police nationale et à se substituer à elle. Dans une ville de 30 000 habitants comme la nôtre, cela revient à créer entre 20 et 30 postes si l’on veut que cette police soit efficace. Cela signifie un budget d’environ 1 M€ par an, soit une augmentation de 20% des impôts locaux ! Si vous rajoutez la proposition formulée par les mêmes personnes de racheter le terrain de l’hôpital Joffre (actuellement propriété de l’Assistance Publique) estimé à 7,5M€, vous passez à 50% d’impôts en plus.

Est-ce cela que veulent les Draveillois?

En fait, avec 100% Draveil, c’est 200% d’impôts !

 

http://draveil-georges.fr/

 

Menteurs et incompétents vous voulez vraiment les garder ?

Draveil Securite vehicule D 01

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20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 16:02

NKM.jpg Pierre-Yves BOURNAZEL est favorable à une Police Municipale à Paris pour  "les problèmes de répression du quotidien de la délinquance ». , il a proposé de redéployer les « effectifs qui existent déjà dans la ville de Paris » et en a profité pour interpeller NKM qui envisagerait plutôt de réorienter le travail des agents de surveillance de Paris (ASP) vers des missions de sécurité. 

 

Certains opposants à cette réforme nous expliquent doctement que selon l'arrêté du 12 messidor an VIII  du Premier Consul Bonaparte les pouvoirs de police à Paris relèvent exclusivement du préfet de Police, placé sous la seule autorité du ministre de l'Intérieur. A ce titre il serait impossible de créer une Police Municipale à Paris.

 

Ce qui est RIGOUREUSEMENT vrai. MAIS, il y a toujours un MAIS !

 

En effet la Police à Paris à été MUNICIPALE jusqu'en 1966, loi du 9 juillet dite "loi Roger Frey" (Ministre de l'Intérieur de l'époque) qui étatise la Police Municipale de Paris en la fusionnant avec la Sureté Nationale. A cette date est créée la POLICE NATIONALE.

 

Avant cette date les Gardiens de la Paix de Paris étaient des POLICIERS MUNICIPAUX.

 

Bertrand Delanöé, lors de son élection, était hostile à la création d'une Police Municipale à Paris. Il a donc créé les ASP, sorte de Police Municipale "canada dry", essentiellement tournée vers la circulation et dont le rôle en matière de sécurité publique est donc marginal. 

 

Ces agents sont pourtant APJA et dépositaires de l'autorité publique. 

 

Rien ne sert de continuer dans l'hypocrisie et le non dit politiquement correct avec les ASP. Il est tout à fait possible et même hautement souhaitable de REcréer une Police Municipale à Paris, sous l'autorité du Préfet de Police, comme avant 1966, pour mieux assurer la sécurité publique ! 

 

SIPM-FPIP/EUROCOP le 20/05/2013 

 

Boucle de ceinturon de la Police MUNICIPALE de Paris et instruction générale de la police MUNICIPALE de Paris concernant un carnaval : PM-paris-doc.jpg PM Paris 

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24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 17:33

En juin 2011 Manuel VALLS alors député de l'Essonne et Maire d'Evry mettait gravement en cause la municipalité de Corbeil Essonne évoquant un "système mafieux" entre certains hommes politiques et des voyous du quartier des Tarterets : (source http://www.europe1.fr/Politique/Valls-un-systeme-mafieux-aux-Tarterets-575297/) "Le socialiste s'en prend au maire UMP Jean-Pierre Bechter, après les violences aux Tarterêts.

 

C'est une grave accusation que porte Manuel Valls, au micro d'Europe 1, après les affrontements survenus dimanche à Corbeil-Essonnes, dans le quartier sensible des Tarterêts. Alors qu'une petite fille, victime collatérale de ces violences, est plongée dans le coma Il accuse la municipalité d'entretenir "un système mafieux" :"J’ai déjà dit combien une forme de complicité avec des individus connus des services de police de la part de la municipalité de Corbeil avait donné à certains un sentiment d’impunité", assène le député PS. Et d'ajouter : "quand vous employez des gens qui ensuite s’en prennent aux forces de l’ordre c’est bien qu’il y a quelque chose qui ne va pas".

"Depuis trop longtemps, cela s'est fait avec les yeux fermés de la municipalité. Ce n'est pas nouveau", renchérit-il, mardi matin sur Europe 1, en visant de nouveau des personnes "qu'on emploie à la mairie et qui ensuite s'en prennent à la police". Pour en finir avec ce qu'il appelle un "climat pourri", Manuel Valls demande "que la police et la justice aient les moyens d’agir rapidement, pour que "l’Etat républicain puisse exercer ses responsabilités" aux Tarterêts.

 

En août 2010 c’est un proche de Serge Dassault, Jacques LEBIGRE qui était gravement mis en cause par le journal LE PARISIEN :  

Dans le cadre d'une perquisition chez un homme soupçonné d'extorsion de fonds, les policiers ont retrouvé un bordereau de remise de trois chèques pour un montant de 8500 € que la petite amie du présumé délinquant avait empochés. Tous signés Jacques Lebigre. Et le journal d'en conclure que l'intéressé servirait de « porteur de valises » pour le compte de Serge Dassault. En juin 2009, l'ex-maire avait été invalidé pour dons d'argent, durant la campagne des municipales de 2008.
Joint hier, Jacques Lebigre n'a pas souhaité s'étendre sur cette affaire. « J'ai le droit de faire des chèques à qui je veux », rétorque-t-il. Sans s'étendre sur la nature de ces chèques. « Si je dois m'expliquer, je le ferai mais pas sur la place publique », ajoute-t-il. Tout en affirmant « ne pas avoir été interrogé » par la police sur ce dossier. http://www.leparisien.fr/corbeil-essonnes-91100/j-ai-le-droit-de-faire-des-cheques-a-qui-je-veux-26-08-2010-1043025.php)

 

Le Journal le POINT (source http://www.lepoint.fr/societe/corbeil-essonnes-un-proche-de-dassault-recherche-pour-tentative-de-meurtre-20-02-2013-1629921_23.php) indique le 20 février 2013 qu’un proche de Serge DASSAULT , habitant des Tarterêts, serait recherché pour tentative de meurtre ! « Younès B., âgé d'une quarantaine d'années, est l'agent de l'avionneur dans les quartiers populaires depuis sa première campagne dans l'Essonne en 1995.

Mardi 19 février, au volant de son véhicule, Younès B., un chef d'entreprise des Tarterêts (cité HLM de Corbeil-Essonnes), croise aux alentours de 13 heures ses ennemis de toujours : René A., 50 ans, et Fatah Hou, 32 ans. La rumeur populaire les désigne comme maîtres chanteurs. Leur forfait : avoir enregistré à l'aide d'une caméra cachée le sénateur Serge Dassault à propos de l'achat de voix des électeurs de Corbeil. Les corbeaux auraient alors cherché à monnayer l'enregistrement sous la menace d'en divulguer le contenu au Canard enchaîné. Serge Dassault aurait refusé le chantage. L'hebdomadaire satirique a publié enseuite une partie du contenu de cet enregistrement, comprenant selon lui des propos de Serge Dassault ainsi que ceux de deux autres élus de la majorité municipale, Sylvain Dantu (UDI) et Cristela de Oliveira (UMP), challengers de Valls aux législatives.

Dans le compte rendu de ces conversations, il est question d'un chef d'entreprise issu des Tarterêts qui aurait perçu 1,7 million d'euros pour "corrompre" les électeurs des cités. Quoi qu'il en soit, Younès B. se reconnaît. Il faisait l'objet de "provocations", selon son entourage. Les "maîtres chanteurs" lui reprochaient notamment d'avoir gardé tout l'argent de Dassault pour lui. Le petit patron des Tarterêts excédé menacera ses tourmenteurs devant témoins.

Selon nos informations, lorsqu'ils se rencontrent fortuitement ce 19 février, Younès B. et Fatah Hou se toisent. Cette fois, Younès veut en finir : ils se donnent rendez-vous près de son bar à proximité du palais des sports. À peine descend-il de son véhicule qu'il tire sur Fatah Hou, touché de trois balles de calibre 38, dont une atteint le poumon. Il s'effondre. Il est transféré à la Pitié-Salpêtrière. Son pronostic vital est engagé.

"Voyoucratie et politique"

Selon certaines sources, Younès B. aurait pris la fuite pour à destination de l'étranger. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle. "Il n'y a rien de surprenant vu le contexte, analyse un responsable associatif. C'est le résultat de l'imbrication de la voyoucratie et de la politique. Il serait temps qu'on remette de l'ordre. Mais notre maire Jean-Pierre Bechter est aux abonnés absents."

Le maire de Corbeil, Jean-Pierre Bechter, a tenu à répondre au Point.fr alors que sa ville est une fois de plus touchée par un règlement de comptes sanglant : "Je ne veux pas me substituer à l'enquête judiciaire et policière. Que des voyous se tirent dessus, ce n'est pas mon problème. Le mis en cause est effectivement connu de nos équipes, mais il n'avait pas de bureau à la mairie. Serge Dassault est le seul milliardaire qui s'occupe d'une collectivité, il doit faire face à beaucoup de pression. Pour ce qui me concerne, j'ai été élu avec 800 voix d'avance, on n'a pas besoin d'acheter les suffrages. Comment peut-on dire que je suis absent de ma ville ? Je vous rappelle que j'ai gagné les élections municipales à Corbeil, alors que Nicolas Sarkozy n'a fait que 34 % des voix à la présidentielle ! Les électeurs sont seuls juges."

CELA COMMENCE A FAIRE BEAUCOUP SAUF SI MANUEL VALLS, LE PARISIEN ET LE POINT SONT DES MENTEURS CES FAITS SONT ABSOLUMENT GRAVISSIMES !

 

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26 janvier 2013 6 26 /01 /janvier /2013 18:41

Autant le dire le SIPM-FPIP:EUROCOP, premier syndicat européen de Police était d'accord avec le député-maire Manuel VALLS...Depuis les débats au Sénat du 24 janvier 2013 la question se pose : le Ministre de l'Intérieur est-il d'accord avec Manuel VALLS ? La politique c'est décidément très compliqué...

 

 Manuel VALLS « POUVOIR » éditions STOCK. Monsieur Valls écrit dans son ouvrage : « je milite depuis longtemps pour un grand ministère de ...la sécurité publique fusionnant des missions qui pour l’instant sont séparées : la police, la gendarmerie et les douanes (…) il est urgent de les regrouper sous l’autorité d’un seul ministre (…) » Dans un thème appelé « vers une décentralisation du service public de la sécurité » M. VALLS écrit encore : « La police municipale endosse de fait , et de plus en plus le rôle de la police de proximité (…) Ces coopérations sont d’ailleurs développées très largement à l’échelle européenne , en Italie, en Espagne, en Grande Bretagne. Elles y fonctionnent très bien contre le trafic de drogue (…) car des informations déterminantes sont recueillies auprès des populations . (…) Je partage cet objectif qui ferait des polices municipales une authentique police de terrain , en phase avec les préoccupations du citoyen, orientées vers l’îlotage , la prévention , la tranquillité publique . Ce qui n’est pas non plus incompatible, en soutien avec la police nationale , avec le flagrant délit et l’interpellation des délinquants » 

 

Valls

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 14:17

Ce sera la circonscription des plaintes. Une bonne dizaine sont en cours, dont deux en diffamation, cette semaine, contre Georges Tron. Une tuile n’arrivant jamais seule, cet ancien secrétaire d’État à la Fonction publique a depuis mercredi sa marionnette aux Guignols, en peignoir léopard, façon Strauss-Kahn. "Je vais gagner cette élection les doigts de pieds dans le nez", lance son personnage en latex. La France entière ricane. La France entière? Pas vraiment. À Draveil, sa ville, l’affaire ne fait plus rire grand monde. Même si c’est ici, en forêt de Sénart, que Louis XV rencontra la Pompadour, on se serait bien passé, deux siècles plus tard, de ce fait divers de mauvaise alcôve où le maire et une adjointe sont mis en examen pour "viols et agressions sexuelles en réunion".

Devait-il se représenter aux législatives? "Si je ne l’avais pas fait, cela aurait été un aveu de culpabilité. Or c’est l’inverse!", tonne Tron, "optimiste" tant sur sa réélection que sur les suites judiciaires. "Quand on est passé par là où je suis passé, il n’y a plus rien qui stresse", dit-il.

Un complot ourdi par... à peu près tout le monde

Le coup de tonnerre Tron remonte à mai 2011. Deux anciennes employées de la mairie de Draveil l’accusent de viol en mairie démarré par des séances de massage des pieds. L’élu admet être un adepte de la réflexologie plantaire mais nie tout le reste. Mis en examen en juin 2011, puis confronté le mois dernier à ses accusatrices, le maire se défend bec et ongles. Il vient de distribuer, dans les 50.000 boîtes aux lettres de la circonscription, un "message personnel" dans lequel il entend démasquer un "vaste complot politique". Pêle-mêle, Georges Tron dénonce "l’extrême droite radicale", "trois agents municipaux aux comportements inexcusables" et "leurs alliés politiques", c’est-à-dire à peu près tout le monde.

"Les gens ont enfin compris ce qui s’était passé", se persuade l’élu de Draveil. Pas tout à fait tous. En retour de son "message personnel", Tron écope de deux plaintes en diffamation déposées jeudi et vendredi, l’une de la candidate du MoDem Daphné Ract-Madoux, l’autre du candidat divers droite François-Joseph Roux, son ancien directeur de cabinet, avec lequel il est aujourd’hui brouillé. Compte tenu de l’urgence électorale, les deux plaintes devraient être jugées en référé dès mardi devant le tribunal d’Évry.

"On ne peut pas laisser Tron dire n’importe quoi", confie Roux. Même son de cloche chez la candidate du MoDem, elle aussi tourneboulée par les accusations : "Je suis d’une famille de militaires et de magistrats, j’ai toujours été centriste! Moi, faire partie d’un complot du Front national! C’est délirant!", peste-t-elle, s’apprêtant à demander réparation, c’est-à-dire la diffusion d’un courrier rectificatif. "Plus il y aura de procès, mieux je me porterai, et je balancerai tout sur ce qui s’est passé", réagit Tron. Ambiance électrique assurée au tribunal, et grand déballage en perspective.

L’affaire lasse à Draveil

Dans cette ville de banlieue cossue en bord de Seine règne une sorte de ras-le-bol général, mélange de gêne… et de honte un peu confuse. "On en a assez de voir M. Tron gémir à la télévision, se plaindre de ces complots imaginaires, ne parler que de lui et jamais des problèmes réels des gens d’ici", résume Philippe Brun, un militant UMP de Draveil, candidat dissident de droite. Autre mauvais signe, les élus de Montgeron et de Vigneux, les deux communes voisines, ont tous demandé à Tron de démissionner de ses fonctions de président de la communauté d’agglomération. "Votre situation personnelle est pesante… Elle influence dorénavant vos décisions", lui écrit Gérald Hérault, le maire PS de Montgeron. C’est dire si l’avenir politique du patron de l’UMP de l’Essonne est sous la menace de son score aux législatives.

Ils sont 13 en lice à vouloir son fauteuil, gagné en 1993. "Tron aura du mal", pensent-ils. Thierry Mandon, maire de Ris-Orangis et candidat du PS, fait donc figure de favori et refuse de souffler sur les braises. "Je ne suis pas juge, je ne suis pas procureur, je ne suis pas juré d’assises…", répète-t-il. Ici, circonscription de droite depuis toujours, François Hollande a obtenu 53 % au second tour, mieux que son score national. "On va voir jusqu’où ira le rejet du député sortant", pronostique la candidate du MoDem, persuadée qu’elle peut même créer la surprise et arriver en tête, "même si c’est tendu", confie-t-elle. La semaine dernière, ses colleurs d’affiches ont été pris à partie par des militants UMP. Les frictions se sont soldées par le dépôt d’une plainte. Encore une.

Des plaintes en cascade

Autre point commun des opposants à Tron, ils ne croient pas vraiment à sa thèse du complot téléguidé par le FN. Lui prétend que les deux plaignantes initiales ont été prises en main par les "frères Olivier", Philippe et Jacques, parents de Marine Le Pen, habitants de la circonscription et opposants politiques de toujours. "Mais déjà en 2008, dans un courrier adressé à François Bayrou, M. Tron se disait victime d’un complot du FN, raconte Daphné Ract-Madoux. C’est une manie, chez lui."

Et puis, au-delà des deux

accusatrices initiales, une dizaine de femmes se sont dites victimes, devant la police, d’agressions ou de harcèlement sexuel. "Elles sont toutes connectées entre elles", se défend le présumé innocent. Ce n’est pas le cas de Marion*, attachée parlementaire de Georges Tron depuis 2006. Cette dernière, aujourd’hui en dépression, peut difficilement être accusée de faire partie du complot initial : en juin dernier, elle a été placée en garde à vue pour avoir tenté de faire pression sur l’une des accusatrices! "Georges Tron m’avait demandé d’aller la voir et de lui dire qu’on avait un dossier contre elle… Je l’ai fait et je le regrette amèrement aujourd’hui", confie-t-elle au JDD.

Tourmentée pendant l’été 2011, Marion a finalement décidé d’aller revoir les policiers. "Lors de ma première garde à vue, je n’avais rien dit, mais ensuite j’ai raconté tout ce que je savais", certifie-t-elle. "C’était une de mes proches. Elle a été retournée et m’a trahi, mais j’ai déposé plainte contre elle moi aussi, réplique Georges Tron, la première pour vol de fichier, la deuxième je ne peux rien en dire encore… Mais ses ennuis sont devant elle, je vous le certifie." Du pur Tron dans le texte. Toujours la même défense. Et un aplomb d’acier. La justice finira bien par trancher…

* Le prénom a été changé à sa demande.

Laurent Valdiguié - Le Journal du Dimanche

samedi 26 mai 2012

 

Tron

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 15:01

valls

 

 

Manuel VALLS soutient Olivier THOMAS , maire de Marcoussis (91) qui dispose d'une bonne Police Municipale . Olivier THOMAS est un homme de coeur qui nous l'a déjà prouvé dans des affaires personnelles. Son seul problème : il est obligé de porter une cravate! (lol).

 

 

 

 

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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 14:35

Georges TRON député maire UMP de Draveil (91) mis en examen pour viol en réunion et surnommé le "masseur chinois" prétend que masser les pieds serait une sorte de médecine douce ...Rien de sexuel là dedans ?

 

La preuve en vidéo :

 

 
Tron-copie-1
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