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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 15:28

Le site du syndicat SDPM http://www.sdpm.net/ donne une information essentielle.

 

Il s'agit en l'espèce de la base de travail sur laquelle planche l'équipe de Nicolas Sarkozy pour créer la POLICE TERRITORIALE et à laquelle a participé le président du SDPM monsieur Cédric Michel.

 

Le SIPM-FPIP/EUROCOP revendique pour sa part la création de la 4ème fonction publique de la sécurité, comme il existe une fonction publique hospitalière, et continue à penser que la qualité d'OPJ pour les élus locaux est superfétatoire.

 

Cependant ce projet de "Police territoriale" va dans le bon sens et en l'état nous le soutiendrions.

 

Rien de définitif là dedans mais un point capital pour le vote à la présidentielle : puisque ce document n'avait pas été rendu public on peut deviner quelle sera l'orientation donnée si Nicolas Sarkozy gagne les élections.

 

A ce sujet nous ne pouvons que déplorer le silence de Monsieur Hollande sur ces questions : nous ne savons pas si la ligne est celle de M. Valls ou celle de Havrin ! Nous ne savons pas si M. Hollande veut nous aider ou nous "plomber" ! Bref dans le doute... désolés M. Hollande...

 

Quant à Marine Le Pen même constat : ou bien elle ne parle pas de nous, ou bien elle dit qu'il faut nous équiper d'armes non létales...Son idée repose essentiellement sur le recrutement de 10 000 gendarmes supplémentaires . La Gendarmerie ayant en charge 90% du territoire Madame Le Pen ne nous dit pas combien ces 10 000 gendarmes en plus représenteront de personnel à l'instant T de l'endroit X . Recruter 10 000 gendarmes pour en avoir un de plus par camionnette est-ce bien sérieux ?

 

Voici donc le projet de "POLICE TERRITORIALE"

 

 

 

 

Article 1

Le chapitre 2 du titre 1

de la deuxième partie de la partie législative du code général des

collectivités territoriales est intitulé « police territoriale ».

Article 2

L’article L2212-1 du Code Général des Collectivités Territoriales est rédigé comme suit :

« Le maire est chargé, sous le contrôle administratif du représentant de l'Etat dans le

département, de la police territoriale et l'exécution des actes de l'Etat qui y sont relatifs.

Dans chaque commune est créée une police territoriale qui est le corps de fonctionnaires

territoriaux chargés de missions de police. Les communes peuvent créer en commun une

police territoriale. Ce cadre d’emploi, intègre les agents de police municipale, les chefs de

service de police municipale, les gardes champêtres, et les agents des communes chargés de la

surveillance de la voie publique, après examen d’intégration. Les agents sont répartis en 2

corps de catégorie A et B.

Un décret en conseil d’état précise la répartition des  

membres de la police territoriale au sein

des corps, grades et catégories. »

Article 3

 

L’article L2212-2 du Code Général des Collectivités Territoriales est rédigé comme suit :

« La police territoriale a pour objet d’assurer la prévention, la surveillance du bon ordre, de la

tranquillité, de la sécurité, de la salubrité publiques et la police des campagnes. Dans ce rôle,

la police territoriale est vouée à assurer une présence visible sur l’espace public.

Ce qui comprend notamment :

1° Tout ce qui intéresse la sûreté et la commodité du passage dans les rues, quais, places et

voies publiques, ce qui comprend le nettoiement, l'éclairage, l'enlèvement des

encombrements, la démolition ou la réparation des édifices et monuments funéraires

menaçant ruine, l'interdiction de rien exposer aux fenêtres ou autres parties des édifices qui

puisse nuire par sa chute ou celle de rien jeter qui puisse endommager les passants ou causer

des exhalaisons nuisibles ainsi que le soin de réprimer les dépôts, déversements, déjections,

projections de toute matière ou objet de nature à nuire, en quelque manière que ce soit, à la

sûreté ou à la commodité du passage ou à la propreté des voies susmentionnées ;

2° Le soin de réprimer les atteintes à la tranquillité publique telles que les rixes et disputes

accompagnées d'ameutement dans les rues, le tumulte excité dans les lieux d'assemblée

publique, les attroupements, les bruits, les troubles de voisinage, les rassemblements

nocturnes qui troublent le repos des habitants et tous actes de nature à compromettre la

tranquillité publique ;

 

3° Le maintien du bon ordre dans les endroits où il se fait de grands rassemblements

d'hommes, tels que les foires, marchés, réjouissances et cérémonies publiques, spectacles,

jeux, cafés, églises et autres lieux publics ;

4° L'inspection sur la fidélité du débit des denrées qui se vendent au poids ou à la mesure et

sur la salubrité des comestibles exposés en vue de la vente ;

5° Le soin de prévenir, par des précautions convenables, et de faire cesser, par la distribution

des secours nécessaires, les accidents et les fléaux calamiteux ainsi que les pollutions de toute

nature, tels que les incendies, les inondations, les ruptures de digues, les éboulements de terre

ou de rochers, les avalanches ou autres accidents naturels, les maladies épidémiques ou

contagieuses, les épizooties, de pourvoir d'urgence à toutes les mesures d'assistance et de

secours et, s'il y a lieu, de provoquer l'intervention de l'administration supérieure ;

6° Le soin de prendre provisoirement les mesures nécessaires contre les personnes atteintes de

troubles mentaux dont l'état pourrait compromettre la morale publique, la sécurité des

personnes ou la conservation des propriétés ;

7° Le soin d'obvier ou de remédier aux événements fâcheux qui pourraient être occasionnés

par la divagation des animaux malfaisants ou féroces ;

8° Le soin de réglementer la fermeture annuelle des boulangeries, lorsque cette fermeture est

rendue nécessaire pour l'application de la législation sur les congés payés, après consultation

des organisations patronales et ouvrières, de manière à assurer le ravitaillement de la

population.

9° la police des campagnes

Les forces de gendarmerie et de police nationale, sans préjudice de leur compétence générale,

assurent prioritairement les missions qui ne peuvent être matériellement et juridiquement

assurées par les services de police territoriale. »

Article 4

L’article L2212-5 du Code Général des Collectivités Territoriales est rédigé comme suit :

« Les agents de police territoriale sont chargés d'assurer l'exécution des arrêtés de police du

maire et de constater par procès-verbaux les contraventions auxdits arrêtés. Sans préjudice des

compétences qui leur sont dévolues par des lois spéciales, les agents de police territoriale

constatent également par procès-verbaux les infractions prévues par les dispositions

législatives ou réglementaires, le tout dans les conditions du code de procédure pénale et

notamment des articles 21, 21-2 et D.15.

Les services de police territoriale officient sur leur territoire sous l’autorité du maire, et le cas

échéant, sous l’autorité fonctionnelle et administrative du président intercommunal du service

de police territoriale.

L’activité judiciaire des agents de police territoriale est placée sous l’autorité du Procureur de

la République auprès duquel ils adressent leurs procédures, par l’intermédiaire de l’officier de

police judiciaire de la police ou de la gendarmerie nationales territorialement compétent

Simultanément, ils adressent copie de celles-ci au maire et le cas échéant, au président du

service intercommunal en charge de la police territoriale. »

Article 5

L’article L2212-7 du Code Général des Collectivités Territoriales est rédigé comme suit :

« Il est créé une école nationale de police territoriale chargée d’assurer la formation des agents

de police territoriale. Cette école est financée par une cotisation des communes ou de

l’organisme intercommunal, au prorata des agents de police territoriale. La cotisation

équivalente auparavant adressée au CNFPT par les communes et services intercommunaux

pour les agents de police municipale et les gardes champêtre est abrogée.

Son organisation et ses centres seront définis par Décret en conseil d’état.

A titre transitoire, le CNFPT reste l’organisme de formation. »

Article 6

L’article L2213-16 du Code Général des Collectivités Territoriales est rédigé comme suit :

« La police des campagnes est spécialement placée sous la surveillance de la police territoriale

et de la gendarmerie nationale. »

Article 7

L’article L2212-7 du Code Général des Collectivités Territoriales est rédigé comme suit :

« Dans chaque département est créé une commission administrative paritaire de la police

territoriale, ainsi qu’un conseil de discipline de la police territoriale.

Une commission consultative de la police territoriale est créée auprès du ministre de

l'intérieur. Elle est composée pour un tiers de représentants des maires des communes

employant des agents de police municipale, pour un tiers de représentants de l'Etat et, pour le

dernier tiers, de représentants des agents de police territoriales choisis par les organisations

syndicales siégeant dans une ou plusieurs commissions administratives de la police

territoriale. Elle est présidée par un maire élu en son sein, qui a voix prépondérante en cas de

partage égal des voix.

Un décret en Conseil d'Etat définit les modalités d'application du présent article. »

Article 8

Dans les articles L.2212-3, L.2212-6 à L.2212-10, L.2213-17 à L.2213-19-1, les mots « police

municipale » sont remplacés par les mots « police territoriale ».

Dans le code des communes, la sous-section 1 de la section 5 du chapitre 2 du titre 1 du livre

4 de la partie législative est intitulée : « dispositions applicables aux agents de police

territoriale ».

 

Article 9

L’article L412-49 du code des communes est rédigé comme suit :

« Les fonctions d'agent de police territoriale ne peuvent être exercées que par des

fonctionnaires territoriaux recrutés à cet effet dans les conditions fixées par les décrets en

Conseil d'Etat prévus à l'article 6 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions

statutaires relatives à la fonction publique territoriale.

Ils sont nommés par le maire ou le président de l'établissement public de coopération

intercommunale, agréés par le procureur de la République, puis assermentés. Cet agrément,

qui a pour objet de garantir l’honorabilité des agents de police territoriale, et cette

assermentation restent valables tant qu'ils continuent d'exercer des fonctions d'agents de

police. En cas de recrutement par une commune ou un établissement de coopération

intercommunale situé sur le ressort d'un autre tribunal de grande instance, les procureurs de la

République compétents au titre de l'ancien et du nouveau lieu d'exercice des fonctions sont

avisés sans délai.

L'agrément peut être retiré ou le procureur de la République après consultation du maire ou du  

président de l'établissement public de coopération intercommunale et de la commission

administrative paritaire compétente pour les agents de police territoriale. Toutefois, en cas

d'urgence, l'agrément peut être suspendu par le procureur de la République sans qu'il soit

procédé à ces consultations. Le maire ou le président de l'établissement public de coopération

intercommunale peut alors proposer un reclassement dans un autre cadre d'emplois dans les

mêmes conditions que celles prévues à la section 3 du chapitre VI de la loi n° 84-53 du 26

janvier 1984 précitée, à l'exception de celles mentionnées au second alinéa de l'article 81. La

retrait d’agrément est procédé à l’issu d’une procédure contradictoire. L’agent de police

territoriale peut contester par la décision du Procureur de la république de retirer ou suspendre

son agrément auprès du Procureur général, sans préjudice des voies de recours ordinaires.

Les services du Procureur de la République, ayant agréé un agent de police territoriale ou

étant informés de la mutation de celui-ci dans le ressort de sa juridiction, inscrivent au plus

tôt, au rôle de l’audience du Tribunal compétent, son assermentation.

»



 

 

Article 10

L’article L. 412-51 du code des communes est rédigé comme suit :

« Les agents de police territoriale portent une arme de 4e et de 6e catégorie dans l’exercice de

leur fonction. Sur demande motivée du Préfet ou du Procureur de la République, le Maire ou

le Président de l’intercommunalité en charge de la police territoriale peut retirer l’armement

d’un agent de police territoriale. A défaut, le Procureur de la République, peut retirer ou

suspendre, l’agrément de l’agent de police territoriale.

Le cinquième alinéa de l’article L. 2212-10 du code général des collectivités territoriales est

supprimé.

 

Un décret en Conseil d’État fixe les catégories et les types d’armes autorisés, leurs conditions

d’acquisition et de conservation par la commune ou l’établissement public de coopération

intercommunale et les conditions de leur engagement. Il précise en outre les modalités de

formation initiale et continue qu’ils reçoivent à cet effet. »

Article 11

Les articles L.412-46 et L.412-48 sont abrogés.

Dans les articles L.412-50, L.412-50, L.412-52, L.412-53 , les mots « police municipale »

sont remplacés par les mots « police territoriale ».

Article 12

Le premier alinéa de l’article 16 du code de procédure pénale est rédigé comme suit :

« 1° Les maires et leurs adjoints et les présidents des services intercommunaux en charge

d’une police territoriale ; »

Article 13

Dans l’article 21 du code de procédure pénale :

Dans le 2° le mot « police municipale » est remplacé par police territoriale.

Le 3° est supprimé.

Article 14

Dans l’article 22 du code de procédure pénale :

Les mots « gardes champêtres » sont remplacés par les mots « agents de la police

territoriale ».

Article 15

Article 27 du code de procédure pénale

abrogé

Article 16

L’article 21-2 du code de procédure pénale est rédigé comme suit :

« Les agents de police territoriale adressent sans délai leurs rapports et procès-verbaux

simultanément au maire et le cas échant au président de l’intercommunalité en charge de la

police territoriale, par l'intermédiaire des officiers de police judiciaire de la police ou de la

gendarmerie nationales territorialement compétent, au procureur de la République.

Pour les infractions qu’ils relèvent par procès-verbal, les agents de police territoriales

procèdent si nécessaire aux recueils de la déclaration du contrevenant ou du mis en cause, des

témoins et victimes, dès lors que les faits ne justifient pas d’autres mesures telles que des

gardes à vues, saisies, perquisitions ou contrôles d’identité. L’officier de police judiciaire en

est immédiatement et régulièrement avisé.

A tout moment, le Procureur de la République ou l’Officier de police judiciaire

territorialement compétent peut décider d’ouvrir une enquête. Dans ce cas, les agents de

police territoriale peuvent procéder, sous l’autorité de l’officier de police judiciaire, au recueil

des déclarations du contrevenant ou du mis en cause, des victimes et des témoins.

Lorsque les infractions auront fait l’objet d’une procédure intégralement rédigées par les

agents de police territoriale, ils avisent immédiatement le Procureur de la République qui leur

indique la suite à donner. Celle-ci est indiquée dans la procédure et transmise immédiatement

à l’Officier de police judiciaire territorialement compétent. »

Article 17

Dans l’article L.130-4 Code de la Route :

Le 3° est rédigé comme suit : « 3° Les agents titulaires ou contractuels de l'Etat, titulaires ou

non, chargés de la surveillance de la voie publique, agréés par le procureur de la

République ; »

Article 18

Le fond interministériel pour la prévention de la délinquance est étendu à l’ensemble des

communes ou organismes intercommunaux de prévention de la délinquance. Les montants

des subventions allouées à ce titre dépendent de l’investissement des collectivités au titre de la

prévention de la délinquance. Toutefois, les communes n’étant pas en conformité avec les

prescriptions législatives et réglementaires encadrant la police territoriale ne sont pas éligibles

audit fond.

Article 19

Les charges qui pourraient résulter de l’application de la présente loi sont compensées à due

concurrence par le relèvement de la dotation globale de fonctionnement, et corrélativement

pour l’État, par la création d’une taxe additionnelle aux droits visés aux articles 575 et 575 A

du code général des impôts.

Les charges qui pourraient résulter pour les organismes de sécurité sociale de l’application de

la présente loi sont compensées à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle aux

droits visés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.

 

sarkozy-hommage-aurelie-fouquet pics 390

 

 

 

 

 

 

 

 

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Published by SIPM - EUROCOP - dans Politique
13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 16:09

sarkozy-hommage-aurelie-fouquet pics 390"Il est nécessaire de créer un statut national du policier municipal", estime Bruno Beschizza. Ce nouveau policier municipal bénéficiera d'une formation continue, d'un encadrement qualifié, d'un statut renforcé et des mêmes outils que ses alter-ego nationaux (armes, fréquences radio, protections...). Cette revalorisation permettrait d'ouvrir des "passerelles entre nationaux, municipaux et gendarmerie. Un préalable à une remise à plat des forces de police et de sécurité, juge l'ancien commandant de police. Il faut, à terme, redéfinir les missions de la police nationale, de la gendarmerie, des polices municipales et aussi des sociétés privées de sécurité."

 

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 SIPM-FPIP/EUROCOP le 14/04/2012

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Published by SIPM - EUROCOP - dans Politique
10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 16:19

sarkozy-hommage-aurelie-fouquet pics 390

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/01/08/01016-20120108ARTFIG00126-l-armement-des-polices-municipales-pourrait-s-etendre.php

 


  • L'armement des polices municipales pourrait s'étendre
    Une patrouille de policiers municipaux en région parisiennne, à Saint-Germain-en-Laye. À ce jour, sur les 18 000 municipaux en France, 7 000 sont armés, soit environ 40 % de l'effectif.

    L'armement des polices municipales revient sur le devant de la scène. Alors qu'à gauche, le secrétaire national du PS chargé de la sécurité, Jean-Jacques Urvoas, propose, à titre personnel, de désarmer les municipaux, la majorité pousse les feux pour confier à ces agents, au nombre de 18 000 en France, des pouvoirs renforcés qui les rapprocheraient de la police nationale. À ce jour, les municipaux armés sont déjà au nombre de 7 000, soit environ 40 % de l'effectif.

    Le 7 décembre, plusieurs députés UMP, dont des membres de la Droite populaire, ont déposé une proposition de loi pour généraliser la dotation en armes de poing. Elle n'a certes pas été inscrite à l'ordre du jour de la commission des lois, mais elle vient relayer une première tentative dans les rangs de la majorité. En juin dernier, en effet, Bruno Beschizza, le secrétaire national de l'UMP chargé de l'emploi des forces de sécurité, avait déjà émis publiquement le souhait que l'armement des polices municipales devienne la règle. Avant que l'Association des maires de France ne vienne contrecarrer ce projet, en objectant que toutes les villes n'avaient pas les mêmes besoins ni les mêmes budgets.

    Faut-il aller jusqu'à imposer l'armement pour tous les policiers? De nombreux responsables au ministère de l'Intérieur considèrent que les grandes agglomérations sont davantage concernées que les petites par la question des armes. La Place Beauvau a les yeux rivés sur Marseille notamment, où les récentes bouffées de violence imposent une mobilisation tous azimuts des forces de sécurité.

    Dans la Cité phocéenne, le député UMP Renaud Muselier milite désormais ouvertement pour l'armement des municipaux. La ville va recruter 100 agents de plus pour étendre, dans un premier temps, les plages horaires des patrouilles. Et son maire Jean-Claude Gaudin, qui a toujours refusé d'armer ses agents, ne se déclare plus hostile au principe de l'armement. «Il évolue, comme sur la vidéoprotection qui va prendre un tour concret, avec l'implantation de 1 000 caméras d'ici à la fin 2013», se félicite un haut fonctionnaire à la préfecture des Bouches-du-Rhône. M. Gaudin ira-t-il jusqu'au bout?

    Concertation avec les élus

    En tout état de cause, la réforme des polices municipales reste un sujet délicat. Le Conseil constitutionnel avait désavoué le gouvernement en censurant, le 10 mars dernier, deux dispositions de la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi), censées renforcer les pouvoirs des policiers municipaux. Les Sages semblaient critiquer une forme de désengagement de l'État sur certaines missions de sécurité.

    La concertation avec les élus est donc plus que jamais nécessaire. Dès cet été, Claude Guéant a ainsi mis en place une commission consultative des polices municipales, dont l'ancien ministre UMP Christian Estrosi a été élu président. L'hôte de Beauvau a, par ailleurs, publié mercredi dernier un décret relatif aux conventions que scellent les communes avec les préfets pour mieux coordonner le travail des municipaux avec celui de la police d'État.

    Christian Estrosi y voit «une première étape dans le renforcement de l'action des polices municipales». Le maire de Nice, qui a fait de sa ville une vitrine de la police municipale armée, appuyée par une vidéosurveillance dernier cri, travaillant main dans la main avec les «nationaux», assure que le décret sur la coordination des polices en France «instaure un diagnostic local de sécurité qui permettra, en fonction des particularités de la commune, de déterminer plus précisément la nature et les lieux d'intervention de la police municipale et de la police nationale, et ainsi, de renforcer les modalités opérationnelles d'une collaboration efficace».

    La question des armes sera étudiée au sein de cette commission, dans un groupe spécialement composé pour en débattre, parallèlement aux questions de statut. Mais la puissante Association des maires de France se montrera vigilante.

Que la "puissante" AMF , association loi 1901 et les candidats à la présidentielle le sachent : les syndicats professionnels eux aussi seront "vigilants" . Preuve est faite une nouvelle fois que ce n'est pas sarkozy ou le gouvernement qui sont hostiles à toute évolution de la Police Territoriale mais l'AMF . Dont acte !

  

SIPM-FPIP/EUROCOP le 10/04/2012

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Published by SIPM - EUROCOP - dans Politique
30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 15:41

Répondant au syndicat USPPM :

 

« Cependant bien que conscient du danger auquel les policiers municipaux peuvent être exposés dans l'exercice de leurs fonctions, je ne suis pas favorable à leur armement et suis au contraire convaincu qu'une police municipale armée serait un facteur de tensions à l'intérieur des villes. »

NDA.png

 

Très étrange réponse de NDA que l'on a connu mieux inspiré...

Monsieur DUPONT-AIGNAN peut-il nous citer une ville où le fait que la Police Municipale soit armée est un "facteur de tension" ????

 

Dans le département de Monsieur DUPONT- AIGNAN, (l'Essonne)  sont armées en quatrième catégories les villes de Wissous (PS) , Evry (PS), Montgeron (PS) , Corbeil (UMP) , Saint-Germain les Corbeil (DVG) , Soisy sur Seine (DVG) , Courcouronnes (UMP) , la Ville du Bois (DVD) , Montlhéry (UMP) , Champlan.

 

Y a t'il des problèmes particuliers causés par l'armement des policiers municipaux qui  y disposent des moyens d'assurer leur protection et celle des citoyens ? L'arme n'est qu'un équipement de protection individuelle, monsieur Dupont-Aignan devrait y réflechir .

 

SIPM-FPIP/EUROCOP le 30/03/2012

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Published by SIPM - EUROCOP - dans Politique
9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 15:46

Monsieur le Secrétaire Général,

J’ai bien reçu votre courriel du 23 janvier dernier dans lequel vous
m’interpellez sur le maintien des moyens de défense adaptés au danger
des missions des Policiers Municipaux, en cas de victoire de François
Hollande.

J’ai transmis votre courriel à François Rebsamen qui dirige le pôle
Sécurité au sein de l’équipe de campagne de François Hollande.

Je vous prie de croire, Monsieur le Secrétaire Général, à l’assurance de
mes sentiments les meilleurs.

Delphine Batho

 

Date : ven. 09/03/2012 13:59

 

Pour mémoire :

 

Secrétaire Général

 

A                                                                    Paris le 23 janvier 2012

 

Madame Delphine BATHO

Députée des Deux Sèvres

 

Objet : Police Municipale

 

Madame la Députée,

 

 

 

Vous avez déclaré : « "Je n'imagine pas un gouvernement de gauche supprimer la préfecture de police de Paris ou fusionner les ministères de l'Intérieur et de la Justice, ni désarmer les polices municipales."

 

Les Policiers Municipaux et les citoyens sont inquiets et veulent avoir une assurance du Parti Socialiste qu’en cas de victoire de François Hollande aux élections présidentielles les Policiers Municipaux pourront continuer à disposer de moyens de défense adaptés au danger de leurs missions, comme les Adjoints de Sécurité, les agents de la Surveillance générale de la SNCF (SUGE) ou les agents du GPSR de la RATP.

 

En effet nous n’avons aucune garantie sur ces questions et à notre sens un parti de gouvernement ne peut avoir une vision décalée sur ces questions cruciales au risque d’un nouveau 21 avril .

 

Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Madame la Députée, l’expression de nos respectueux hommages.


http://www.euro-sipm.eu/article-police-municipale-le-sipm-saisit-dephine-batho-deputee-ps-des-deux-sevres-97728597.html

 

ps

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Published by SIPM - EUROCOP - dans Politique
6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 16:49

bisounours cadavre grandSi nombre d'élus locaux socialistes, confrontés à la réalité du terrain, assument leur rôle en matière de SECURITE PUBLIQUE (rappelons encore une fois que le maire est le représentant de l'Etat sur la commune et y a en charge la sécurité publique) les divers propos lénifiant et le retour au premier plan de l'improbable duo Urvoas/Havrin ne peut qu'inquiéter non seulement les policiers municipaux mais surtout les citoyens qui vont bientôt voter pour l'élection présidentielle. Non seulement , pour gagner une élection, les appareils politiques sont tout à fait capables de promettre n'importe quoi pour satisfaire les "bobos cadres sup" et autres ex soixantehuitards qui ont jeté aux orties Jaurès et Clémenceau, mais les responsables socialistes ne répondent pas aux solicitations des syndicats professionnels. "Qui ne dit mot consent ? "

 

Rappelons que CONTRAIREMENT à ce que racontent les "grands médias" (composés en grande partie de "bobos classe sup") la fameuse "police de proximité" mise en place de 1997 à 2002 a été un ECHEC TOTAL et a conduit à ce résultat : Jean-marie Le Pen au second tour le 21 avril et Nicolas Sarkozy Ministre de l'Intérieur. Même Lionel Jospin , dont l'honnèteté intellectuelle est proverbiale avait reconnu que sur ces questions il avait été "naïf" . Sarkozy peut mieux faire certes ! Mais faut-il faire moins bien ?

 

Avant d'accuser les syndicats professionnels d'exagérer la situation la preuve par l'exemple de candidats aux municipales de 2014 complètement "à l'Ouest" en matière de sécurité. La "machine à perdre" du P.S. est en route : direction dans le mur !

 

 

B/N le 06/02/2012

 

http://www.lest-eclair.fr/article/a-la-une/je-ne-vois-pas-lutilite-de-la-police-municipale

 

« Je ne vois pas l'utilité de la police municipale »

Publié le lundi 30 janvier 2012

 

 

Romilly-sur-Seine - Si le Parti socialiste revient aux affaires en 2014 à Romilly, il promet de lancer un débat sur l'avenir de la police municipale. Un référendum pourrait sceller son sort

Quel regard portez-vous sur la police municipale romillonne ?
Henri Guérin : D'un point de vue personnel, je ne vois pas l'utilité de la police municipale. La situation de la sécurité à Romilly ne nécessite pas un tel investissement. J'ai regardé les comptes administratifs : depuis 2008, la police municipale a coûté près de 1 190 000 d'euros. Ce n'est pas négligeable. De plus, je remarque qu'elle est utilisée en substitution de la police nationale supprimée à Romilly par Nicolas Sarkozy. »

Faut-il la supprimer ?
Pierre Dichamp : « Si nous accédons aux responsabilités en 2014, nous ne ferons pas comme l'équipe Vuillemin. Nous ne détruirons pas systématiquement tout ce qui a été fait précédemment. Avec les 33 colistiers, nous prendrons une décision collective. On peut aussi imaginer que la population tranche après un débat lors d'un référendum d'initiative locale. »
H.G. : « D'autres considérations doivent être prises en compte. On ne peut pas rayer d'un trait de plume huit emplois. Certaines de leurs missions, comme la surveillance des sorties d'écoles, de collèges ou de lycées doivent être maintenues. C'est typiquement le type de mission qui vient en complément de la gendarmerie nationale. »

Si la police municipale est maintenue, sera-t-elle dotée d'armes à feu ?
H.G. : « La décision d'armer la police municipale a été prise après qu'un policier se soit fait (sic) mordre par un chien. Cet événement tout à fait regrettable a été pris comme prétexte. Je m'y suis d'ailleurs opposé en conseil municipal. Il y a un grand décalage entre la décision prise et ce fait. Cela ne justifiait pas la décision d'armer les policiers municipaux. »
P.D. : « L'armement pose beaucoup de questions ; celle de la formation et celle de la capacité des agents à gérer les situations de crise notamment. Ça peut être dramatique. »


La vidéosurveillance est déjà en place. Allez-vous poursuivre dans cette voie ?
H.G : « Lors de sa mise en place, je m'y suis opposé. Je suis heureux de voir qu'aujourd'hui Jacques Beaujean, adjoint à la sécurité, reconnaît que cela entraîne un déplacement de la délinquance comme je l'avais indiqué à l'époque.
Mais comme je l'ai dit, nous ne serons pas là pour détruire tout ce qui a été fait précédemment. Aujourd'hui, les caméras existent, elles ont nécessité un investissement important… »

 

Propos recueillis par Mathieu GIBET

 

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Published by SIPM - EUROCOP - dans Politique
23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 15:37

19, rue du Borrégo - 75020 PARIS

Tél : 01 44 92 78 50 - Fax : 02 44 84 58 41

courriel : fpip-eurocop@gmx.fr

EUROCOP regroupe 27 pays Européens, 36 syndicats de Policiers.

EUROCOP représente 500.000 policiers et siège dans les instances Européennes

 

 

 

 

ps

 

Secrétaire Général

 

A                                                                    Paris le 23 janvier 2012

 

Monsieur Patrick MENNUCCI

Maire du 1er et 7 ème Arrondissement

Mairie de Secteur

125 la Cannebière

13001 Marseille

 

Objet : Police Municipale

 

Monsieur le Maire,

 

Vous avez à plusieurs reprises dénoncé à juste titre l’inaction de Monsieur le maire de Marseille concernant la sécurité.

 

Nous vous savons proche de Monsieur François Hollande candidat à l’élection présidentielle de 2012.

 

Au sein du Parti Socialiste , si nombre d’élus locaux font leur possible pour améliorer le quotidien des citoyens en faisant respecter la loi républicaine, il reste malheureusement quelques « dogmatiques » qui nous inquiètent à juste titre. Si les idées de ces gens là étaient appliquées, les policiers municipaux de la France entière deviendraient aussi peu efficaces qu’à Marseille et si vous gagniez les élections municipales de 2014 vous perdriez ce moyen d’action. A fortiori s’il se confirme que l’in souhaite plus ou moins empêcher les 20000 policiers municipaux de France de travailler efficacement le risque pour vous est un nouveau 21 avril. Notre question est donc simple : Pouvez-vous nous assurer qu’en cas de victoire de Monsieur Hollande les policiers municipaux garderont la possibilité de disposer de moyens de défense adaptés au danger de leurs missions  comme les adjoints de sécurité, les agents de la sûreté de la SNCF (SUGE) ou de la RATP (GPSR) ?

 

Dans l’attente de votre réponse nous vous prions d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de notre respectueuse considération et la plus amicale.

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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 15:32

19, rue du Borrégo - 75020 PARIS

Tél : 01 44 92 78 50 - Fax : 02 44 84 58 41

courriel : fpip-eurocop@gmx.fr

EUROCOP regroupe 27 pays Européens, 36 syndicats de Policiers.

EUROCOP représente 500.000 policiers et siège dans les instances Européennes

 

 

 

 

ps

 

Secrétaire Général

 

A                                                                    Paris le 23 janvier 2012

 

Madame Delphine BATHO

Députée des Deux Sèvres

 

Objet : Police Municipale

 

Madame la Députée,

 

 

 

Vous avez déclaré : « "Je n'imagine pas un gouvernement de gauche supprimer la préfecture de police de Paris ou fusionner les ministères de l'Intérieur et de la Justice, ni désarmer les polices municipales."

 

Les Policiers Municipaux et les citoyens sont inquiets et veulent avoir une assurance du Parti Socialiste qu’en cas de victoire de François Hollande aux élections présidentielles les Policiers Municipaux pourront continuer à disposer de moyens de défense adaptés au danger de leurs missions, comme les Adjoints de Sécurité, les agents de la Surveillance générale de la SNCF (SUGE) ou les agents du GPSR de la RATP.

 

En effet nous n’avons aucune garantie sur ces questions et à notre sens un parti de gouvernement ne peut avoir une vision décalée sur ces questions cruciales au risque d’un nouveau 21 avril .

 

Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Madame la Députée, l’expression de nos respectueux hommages.

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 13:16

ps

 

http://www.patrickmennucci.fr/

 

(...)De plus la ville subit une terrible crise d’autorités, les incivilités se multiplient, la délinquance s’accroit dans une sorte d’indifférence de l’Etat et une surdité persistante de Jean-Claude Gaudin, notre Maire.
Ainsi les vols avec violence sont en augmentation de 17,5% sur la ville alors que d’autres communes proches connaissent une baisse comme Arles (-5%). Les faits de délinquance sur la voie publique représentent 50% du total général. A la fin juillet un total de 150 vols commis à main armée étaient déjà enregistrés alors qu’en décembre 2010 on en comptait 195. Les mineurs représentent 51% de la délinquance contre 37% au plan national. Si en France les infractions à la législation sur les stupéfiants baisse de 2,2%, elles augmentent à Marseille de 3,4%.
C’est dans ce contexte qu’est intervenue l’affaire du parking de la Porte d’Aix. Vu de loin on pourrait penser à un dérapage, mais la réalité est toute autre.
La Porte d’Aix, située à l’entrée du centre ville de Marseille est dans une situation insupportable depuis 10 ans. Cette situation s’ est encore dégradée depuis 5 ans. La Mairie a renonce depuis longtemps à faire régner le droit renvoyant à l’état la responsabilité. En réalité les deux : ville et Etat ont baissé les bras devant les difficultés, laissant le champ libre à tous les trafics que génèrent la misère, le déclassement social. Ce périmètre de la Porte d’Aix concentre les plus pauvres parmi les Marseillais qui vivent sous le seuil de la pauvreté rejoints par des clandestins, des adolescents errants de la filière d’Oran, les Rom expulsés de leurs divers squats.
Depuis tant d’années la mairie de Marseille a laisse malgré toutes les alertes s’aggraver une situation qui infuse aujourd’hui vers l’hypercentre où de nouveaux marchés de la misère se sont installés, sur la Canebière même.
Le seul discours de la droite municipale est de parier sur les transformations immobilières du secteur de la porte d’Aix qu’entrainera l’opération Euro-méditerranéen, sans s’occuper des populations qui y habitent ou qui le fréquentent.
Depuis longtemps Jean Claude Gaudin a enfonce la tête dans le sable des plages du Prado, attendant des promoteurs immobiliers qu’ils fassent le travail, ignorant la misère, la détresse, la colère des marseillais.
L’absence de Police Municipale digne de ce nom (230 fonctionnaires pour 860 000 habitants dans une ville immense) et la diminution des forces de polices nationales ont fait le reste. L’abandon du territoire de la Porte d’Aix s’est soldé par ce désastre médiatique du parking qui n’a fait que refléter le désastre social et humain qui existe depuis longtemps dans cette partie de la ville.

 (...)elle doit se doter d’une réglementation au travers d’arrêtés municipaux et surtout les faire respecter. Élargissement sauvage des terrasses, vente d’alcool à emporter la nuit, réglementation des horaires d’ouverture, de musique, stationnement gênant. Aucune législation n’est jamais appliquée par l’absence de police municipale la nuit et par la faiblesse des effectifs de police nationale logiquement concentrée sur les délits les plus graves.
Mais rien ne sera possible sans la solidarité nationale et en premier lieu en matière de sécurité (...)

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Nous connaissons monsieur Mennucci "Grande Gueule" de RMC ...

Vous connaissez maintenant monsieur Mennucci pro police !

 

B/N SIPM/EUROCOP le 14/12/2011

 

 

 

 

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 16:54

ps

 

Nous attendons toujours la position de Monsieur François HOLLANDE concernant la Police Municipale. Le moins que l'on puisse dire c'est que les déclarations de différents responsables du Parti Socialiste sont contradictoires. Et que cela nous inquiète.

 

Néanmoins nous avons quelques raisons d'espérer .

 

Ainsi nous constatons la présence dans l'équipe de François HOLLANDE pour la campagne des primaires de Patrick Mennucci

Maire des 1er et 7ème arrondissements de Marseille, également vice-président du Conseil Régional Provence-Alpes-Côte-d'Azur. Ce nom ne dira rien à la plupart d'entre vous. Pourtant monsieur Mennucci milite à Marseille pour l'armement de la Police Municipale et une augmentation significative de ses effectifs au grand dam de Jean-Claude GAUDIN soit disant de "droite" . En voici la preuve en vidéo :





 
 Enfin c'est avec satisfaction que les Policiers Municipaux peuvent constater que l'excellent Manuel VALLS, député-maire d'Evry et un des rares hommes politiques qui a une vision claire de la sécurité en France,  qui a déjà fait la preuve qu'il était un vrai réformateur, a en charge la communication du candidat François HOLLANDE à l'élection présidentielle. Nous avons donc dans les proches de François HOLLANDE deux élus de terrain qui soutiennent la Police Municipale .
 
 Mais nous sommes toujours dans l'attente d'une position claire ...
 
B/N SIPM/EUROCOP le 22/11/2011





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